Le PW1000G n’a plus qu’à se montrer convaincant s’il veut finir sur un A320 de nouvelle génération. Le démonstrateur de technologie Geared Turbofan de Pratt & Whitney a en effet réalisé son premier vol sous l’aile du banc d’essai volant d’Airbus, l’A340-600, le 14 octobre à Toulouse. Les tests en vol conjoints du constructeur européen et du motoriste américain ont donc commencé.
Le PurePower PW1000G aura soixante-quinze heures de vol pour montrer ses capacités à Airbus. Le constructeur se concentrera particulièrement sur les performances générales et acoustiques du réacteur, tout en recueillant des données opérationnelles et sur la meilleure façon de l’installer. Les résultats contribueront aux recherches d’Airbus sur les développements liés aux nouvelles configurations de moteurs.
Après avoir subi deux cent cinquante heures de tests statiques, le réacteur a déjà effectué douze vols sur le banc d’essai volant Boeing 747SP de Pratt & Whitney, soit environ quarante-trois heures de vol. Les tests ont jusqu’à présent atteint tous les objectifs de performance attendus par le motoriste. Le PW1000G est le premier réacteur à détenir le potentiel de réduire de plus de 10% la consommation des appareils par rapport à ceux d’aujourd’hui.
Doté d’un réducteur de vitesse entre le fan et le compresseur basse pression, il permet à chacune de ces parties de tourner à sa vitesse optimale et améliore donc les performances du réacteur dans tous les domaines (consommation, émissions et bruit).
Lors de l’annonce de ces tests conjoints au mois d’avril, Airbus avait précisé que ceux-ci n’impliqueraient pas nécessairement une décision sur le développement de nouveaux produits.
Cependant, le constructeur s’intéresse de près à cette technologie qui s’inscrit dans sa démarche écologique, et particulièrement au réducteur de vitesse « capable d’absorber des niveaux de puissance plus élevés que ceux atteints sur d’autres concepts de moteurs ». Le PW1000G a de plus déjà été choisi par Mitsubishi pour son MRJ et par Bombardier pour son CSeries, ce dernier étant susceptible de faire de l’ombre à l’A318.
Le PurePower PW1000G aura soixante-quinze heures de vol pour montrer ses capacités à Airbus. Le constructeur se concentrera particulièrement sur les performances générales et acoustiques du réacteur, tout en recueillant des données opérationnelles et sur la meilleure façon de l’installer. Les résultats contribueront aux recherches d’Airbus sur les développements liés aux nouvelles configurations de moteurs.
Après avoir subi deux cent cinquante heures de tests statiques, le réacteur a déjà effectué douze vols sur le banc d’essai volant Boeing 747SP de Pratt & Whitney, soit environ quarante-trois heures de vol. Les tests ont jusqu’à présent atteint tous les objectifs de performance attendus par le motoriste. Le PW1000G est le premier réacteur à détenir le potentiel de réduire de plus de 10% la consommation des appareils par rapport à ceux d’aujourd’hui.
Doté d’un réducteur de vitesse entre le fan et le compresseur basse pression, il permet à chacune de ces parties de tourner à sa vitesse optimale et améliore donc les performances du réacteur dans tous les domaines (consommation, émissions et bruit).
Lors de l’annonce de ces tests conjoints au mois d’avril, Airbus avait précisé que ceux-ci n’impliqueraient pas nécessairement une décision sur le développement de nouveaux produits.
Cependant, le constructeur s’intéresse de près à cette technologie qui s’inscrit dans sa démarche écologique, et particulièrement au réducteur de vitesse « capable d’absorber des niveaux de puissance plus élevés que ceux atteints sur d’autres concepts de moteurs ». Le PW1000G a de plus déjà été choisi par Mitsubishi pour son MRJ et par Bombardier pour son CSeries, ce dernier étant susceptible de faire de l’ombre à l’A318.