Les boîtes noires utilisées sur les avions enregistrent des informations liées au vol et dont l’analyse permet de déterminer les causes d’un incident ou d’un accident.
Il existe deux types de boîtes noires : les CVR (Cockpit Voice Recorder) qui sont destinées à enregistrer les conversations du cockpit et les FDR (Flight Data Recorder) qui ont pour rôle d’enregistrer les données de vol.
Elles sont placées à l’arrière de l’avion car c’est la partie qui est généralement la mieux conservée lors d’un impact avec le sol.
( à retenir lors de vos prochaines réservations, préférez donc les places près de la queue de l’appareil !)
Ces deux boîtes ont pour caractéristique commune d’être équipées d’un émetteur sous-marin qui se déclenche en cas d’immersion et qui émet un signal à ultrason afin d’aider à la localisation de l’appareil. Le signal est émis à une fréquence de 37,5 kHz. Le signal émis peut être capté à une profondeur allant jusqu’à 3 500 mètres (14 000 pieds).
À la suite d’un accident, les boîtes sont analysées par les autorités en charge de la sécurité aérienne . Les données enregistrées permettent de reconstituer la phase finale du vol voire, dans les cas les plus récents, d’être introduite dans un simulateur de vol pour une répétition complète du vol.
Il existe deux types de boîtes noires : les CVR (Cockpit Voice Recorder) qui sont destinées à enregistrer les conversations du cockpit et les FDR (Flight Data Recorder) qui ont pour rôle d’enregistrer les données de vol.
Elles sont placées à l’arrière de l’avion car c’est la partie qui est généralement la mieux conservée lors d’un impact avec le sol.
( à retenir lors de vos prochaines réservations, préférez donc les places près de la queue de l’appareil !)
Ces deux boîtes ont pour caractéristique commune d’être équipées d’un émetteur sous-marin qui se déclenche en cas d’immersion et qui émet un signal à ultrason afin d’aider à la localisation de l’appareil. Le signal est émis à une fréquence de 37,5 kHz. Le signal émis peut être capté à une profondeur allant jusqu’à 3 500 mètres (14 000 pieds).
À la suite d’un accident, les boîtes sont analysées par les autorités en charge de la sécurité aérienne . Les données enregistrées permettent de reconstituer la phase finale du vol voire, dans les cas les plus récents, d’être introduite dans un simulateur de vol pour une répétition complète du vol.