L’islam dépasse le catholicisme

D’après le Journal officiel du Vatican, l’islam aurait désormais dépassé le catholicisme romain et serait aujourd’hui la religion la plus répandue au monde. “Pour la première fois dans l’histoire, nous ne sommes plus en tête : les musulmans nous ont dépassés”, a déclaré Mgr Vittorio Formenti, auteur de l’annuaire statistique 2008 de l’État pontifical, lors d’une interview pour L’Osservatore Romano. Ce journal avance ainsi un chiffre stable pour la population catholique alors que la population musulmane a connu une importante augmentation. Si 17,4% de la population mondiale est catholique, les musulmans représentent, eux, 19,2%. Cependant, si l’on prend en compte tous les chrétiens et non pas seulement les catholiques, les chiffres montent : 33% de la population mondiale est, en effet, chrétienne.

par cela on comprend la haine que nous donne les chretiens et les juifs dans leurs compagne anti islam et la creation de la pseudo ALQAIDA pour mutilé l image de l islam et faire en sorte que cette religion recule, maus dieu est la et l effet boomrang fait revers et donne un effet positif au lieu de ca negativité, je dis juste un mot, son sens est la verité de notre existance
ALLAH AKBAR

entierement d'accord, mais je trouve que l'une des questions essentielles est de savoir si cette population de musulmans est consciente ou pas du role qui lui est desormais assigné. à savoir une conduite exemplaire (par rapport aux autres musulmans et non pas aux autres), et la distinction à faire et à en etre conscient de separer notre religion des differents fanatismes .

Entre culture et foi !!!!!

Le ressort du fanatisme est aussi difficile à saisir que son concept est violent. Le rapport immédiat et sans concessions entre une conviction et les actions qui, aux yeux du fanatique, en découlent est d'abord lisible dans ses conséquences, comme toute l'histoire des violences religieuses le montre sans rémission. Ces conséquences sont la souffrance et la mort, et rien d'autre, mais quel est leur sens? Si on cherche à comprendre le fanatisme de l'intérieur pour exposer ce que seraient son point de départ et sa rationalité, il se dérobe. Cette difficulté semble insurmontable dans tous les attentats qui impliquent un suicide: leur finalité, pour être rationnelle, doit rendre nécessaire le sacrifice de la vie personnelle et elle n'est donc pensable que dans le cadre d'une communauté qui survit au sacrifice et en un sens l'exige. La suppression de la volonté propre en est la condition essentielle. Même si on retrouve plusieurs, ou même tous les responsables des attentats de New York, on devra affronter, les concernant, un jugement souvent répété ces derniers jours: le fanatisme n'est pas une personne, c'est un phénomène, c'est-à-dire une force qui ne saurait être le seul résultat du projet d'individus maléfiques, si puissants soient-ils.

À ce niveau de terreur en effet, le fanatisme dépasse en extension et en complexité ceux-là mêmes qui le représentent historiquement au sein de groupes islamistes par ailleurs bien connus. La rationalité de leur action n'est donc pensable que sur le fond du phénomène dont ils ne sont finalement que les symptômes. S'agissant d'un terrorisme aussi profondément défini par son enracinement historique, par comparaison avec un terrorisme stratégique dans des conflits localisés, il se pourrait que la raison même n'en soit jamais exprimable et qu'elle nous confronte à une forme de folie. Sans aller jusqu'à un concept de mal radical, susceptible d'investir toutes les occasions offertes par l'histoire et la technique pour s'exercer, on peut au moins se demander si cette folie peut être comprise.

À cet égard, deux grandes hypothèses ont été suggérées depuis que le terrorisme international est devenu plus virulent. La première est de nature sociologique et fait appel d'abord, par exemple dans les travaux de Gilles Kepel et d'Olivier Roy, au ressentiment des populations de pays islamiques, infériorisés dans leur situation d'accès bloqué à la modernité. La culture de l'Islam qui depuis toujours accueille la science devrait rendre la prospérité disponible, mais celle-ci demeure hors d'atteinte. Cessant de poursuivre la modernité, l'islamisme politique entre en rupture avec les idéaux de tolérance et de paix de l'Islam religieux et il entreprend de rendre la modernité responsable du malheur social et de l'injustice. La seconde est de nature psychanalytique, et fait fond sur le rapport entre la pulsion de mort et l'évolution de la technique, suggérant que la force de Thanatos dans l'histoire s'empare de tous ceux que le cycle de la violence maintient trop longtemps dans le cercle des exclus, des humiliés et des victimes. Il s'agirait alors de la forme extrême du nihilisme, envisagée déjà dans les lettres de Freud à Einstein et dans son Malaise dans la culture.

Il faut lever là toute ambiguïté : l’Islam condamne catégoriquement le crime et l’assassinat. Le Coran est très clair S5V32 “Celui qui tuerait un homme non coupable d’un meurtre ou un délit sur la terre, c’est comme s’il avait tué tous les hommes. Et quiconque fait don de la vie à un homme, c’est comme s’il faisait don de la vie à tous les hommes”.
S17 V33 : “ Et, sauf en droit, ne tuez point la vie que Dieu a rendu sacrée”. Etc...
Tout comme riposter à une injustice est un droit (s42 v39 : “et qui, atteints par une injustice, ripostent”) revendiquer de gouverner au nom de Dieu est un droit, s’il est scrupuleusement respecté. Mais ce même droit ne saurait cependant justifier de moyens honteux pour arriver à cette fin (violence, crime d’innocents).
Ceux qui le font, abusent du droit de parler au nom d’une religion. Eux sont en cause, pas l’Islam. Mais parallèlement il y a tant d’actes terroristes qui sont toujours, à priori, attribués aux “extrémistes islamistes”.
Cette logique est déroutante : pourquoi attaquer la religion de l’Islam, lorsque des musulmans font une faute, et pourquoi n’accuse t-on pas la laïcité pour un laïc, le christianisme pour un chrétien, l’athéisme pour un athée, lorsque ceux-ci perpètrent d’ignobles crimes? Pourquoi?
Avez-vous UNE seule fois entendu parler d’”un terrorisme catholique” s’agissant de l’IRA ?
Qu’une puissance se heurte, dans le monde musulman, à un obstacle? C’est du fanatisme. Le musulman défend-il son foyer, sa religion, sa patrie? C’est un extrémiste, et non un patriote.
Le patriotisme a-t-il deux sens différents? Non, il est fonction du contexte!
On fait tout pour radicaliser des gens en leur spoliant des droits les plus élémentaires pour, ensuite, pouvoir mieux les accuser.
L’équité la plus élémentaire leur enseignerai à rechercher et condamner l’ORIGINE d’un mal, et non ses CONSÉQUENCES. Mais on parle là de musulmans, alors au diable l’équité, et les valeurs morales! La fin justifie les moyens. Tous les moyens, même les plus honteux. Tout principe d’équité est subordonné au service de leur dessein inavoué et inavouable. Et dans 30 ans nos enfants étudieront les justificatifs de “cette morale”, de cette “équité”, de cet “ordre international” qui a fait qu’ils aient pu ébranler toute une armada pour l’autre bout du monde, chaque fois que les uns éternuent, tout en affamant un peuple d’innocents (Irak); et en même temps, laisser massacrer les autres (Bosnie, Palestine), à deux pas de chez eux ou ailleurs. Désarmant les victimes, en armant les agresseurs, cette fois!
Demandez donc à nos détracteurs de s’obliger systématiquement à donner la religion des victimes de leurs atrocités, tout autant qu’ils s’empressent de mettre en avant l’Islam quand des musulmans sont les agresseurs.
Et pourquoi donc on ne le fait toujours pas? Exigez d’eux UNE seule raison valable.

je ne sais pas si vous avez déja lu, ce livre: de voltaire :Le fanatisme, ou Mahomet le Prophète!!
à lire !!!
bonne journée

jai vu ce sondage sur lislam, elle est la religion numero 1 en europe , c'est pour la premiere fois quel depasse le catholicisme depuis des année, avec tout le mal et les représailles comploté contre l islam, la justice de dieu est superieur de tous; pour dire que rabi youmhil wala youhmil

L'Islam vécu en Occident, une nouvelle série télévisée 'La petite mosquée dans la prairie'
Comment aborder la vie de la communauté musulmane installée en Occident, de manière saine et sans tomber dans le politiquement correct ? C'est l'ambition de la série La petite mosquée dans la prairie, qui sera diffusée à l'ambassade du Canada à partir de fevrier.
Un programme de télévision diffusé aux heures de grande écoute où le héros serait un imam ? Il fallait oser. La petite mosquée dans la prairie le fai Et l'ambassade du Canada diffuse les deux premiers épisodes de la série lundi à 19h, dans son atrium.

Depuis un an, l'acteur canadien Zaib Shaikh incarne le rôle d'Amaar, un imam modéré venu de Toronto pour prêcher à Mercy. Dans cette bourgade du Canada, une petite communauté musulmane tente tant bien que mal de conserver son identité dans le contexte de l'après-11 septembre, à l'image des 800 000 musulmans installés au Canada.

L'humour de la série repose sur l'interaction entre les personnages libéraux et conservateurs. Les scénaristes caricaturent les personnages et jouent sur les stéréotypes. Tout le monde participe : Sarah l'ex-anglicane convertie à l'Islam par amour, Baber le conservateur qui traite les non-musulmans d'imbéciles, Rayyan la jeune féministe voilée, ou encore un présentateur de radio locale, prompt à voir un terroriste en chaque musulman. Zarqa Nawaz, canadienne d'origine pakistanaise, affirme s'être inspirée de son expérience personnelle pour créer la série.
Pour enn savoir plus sur la série : http://www.cbc.ca/littlemosque/

l'islam c'est la tolerance , l'amour du prochain ,la generositè c'est la seule religion qui a liberè la femme la femme musulmane a tous les droits , vive l'islam c'est notre religion preservons la .

l islam c'est tout , c'est lle savoir vivre

l'islam c'est l'empathie

exacte lili